Un petit slip rouge...

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il y a 9 ans

Un petit slip rouge...

Septembre, c’est la rentrée alors les parisiens rangent les shorts et débardeurs. Ils gardent encore quelques t-shirt et même s’ils frissonneront demain matin pour aller au boulot, il faut bien exhiber son bronzage.

Pour moi c’est l’inverse, je sors tout ce qui est court et léger, je gave le ventre de ma valise car …

« C’est les vacances !!! »

Cette année destination straight. Comprenez pas PD, pas de plages naturistes, pas de guesthouse bordel. La pudeur asiatique est de mise. Il me faut un maillot de bain… et vite je décolle demain.

Je file aux grands magasins. Sauf que là, dans les étages, je cherche le rayon de maillots pour messieurs et qu’il ne s’agit en fait que d’un meuble au fond du magasin.

Hey oui ! C’est la saison du cachemire, pas de moule burne échancré en nylon !

Peu de choix, d’autant plus que je suis carrément « Has Been » car je veux un slip de bain.

Pas un short, pas un boxer, je veux le bon vieux slibard qui moule et fait des traces de bronzage surtout sur les fesses, peu sur les hanches et juste au dessus du sexe.

Il y a les classiques « speedo » noir ou bleu, mais c’est pas fun.

Des model « HOM» papy fait de la résistance façon mécano en dentelle… Has been mais faut pas pousser !

Calvin est me donne le tournis quand un petit model rouge me fait de l’œil.

Je cherche ma taille, du S, du S, du S, ah un M, encore un, un troisième, en plus il taille petit et pas de L…

  • Je peux vous aider ?

Je tourne mon regard vers la voix. Un vendeur assez sophistiqué apparaît. Il a la quarantaine, un mètre soixante dix bien proportionné gainé dans une tenue très ajustée qui ne laisse apparaître qu’un visage soigné et des mains parfaitement manucurées. Il a de la gueule et je me dis qu’après un baroud d’une semaine dans le désert c’est à dire décoiffé et un peu plus naturel il serait là à mon gout…

« Bon Bref ! » Je ne suis pas là pour la gaudriole mais pour trouver un slip de bain à ma taille…

  • Oui je ne choisis pas le meilleur moment mais il me faut un slip de bain et…

  • Oui nous avons plus de choix en juin, mais il reste pas mal de jolis modèles, ces shorts là par …

  • Oui mais non ! Je veux ce genre, un slip quoi !

  • Ah… c’est pas trop la tendance alors f o r c e ment…

  • Oui je sais, mais c’est déjà dur de mettre un maillot alors j’veux pas beaucoup de tissu !

Là je me demande pourquoi je lui dis cela ! Je me justifie et je lui signifie que je suis naturiste… Pis il m’énerve avec sa remarque ! Il poursuit :

  • Nous avons de strings si vous voulez !

  • Non, quand même… celui-ci le rouge. Il est bien. Rouge presque comme moi qui suis agacé…

  • Oui il est bien, quelle taille ?

  • L

  • LLLLLLLLL ???? s’étouffe t’il ! Il est outré comme si j’avais dit S avec une obésité massive !

  • oui L c’est ma taille de sous-vêtements et vos M me semblent bien petits…

Il me jauge sourcils froncés et index dans la bouche et me conseille un M de manière autoritaire comme si je n’achetais pas mes vêtements moi-même… GRRR

  • Je vous assure, c’est Large qu’il me faut.

  • Avec ce modèle je vous conseille vraiment un M mais bon je sors les deux et vous verrez bien.

Il cherche rapidement de slip en slip, je souris intérieurement quand il me dit :

  • ah c’est un signe, il n’y a pas de L !!! Prenez un M !

Non mais il se fout de ma gueule !

Non seulement il ne m’écoute pas mais en plus il veut me fourguer coute que coute une fin de saison trop petite !!! Là je m’agace vraiment !

Je ne vais quand même pas lui expliquer que j’ai besoin de place pour mettre mon paquet et que si la taille qu’il m’impose irait bien derrière, elle me comprimerait devant ! Je me connais bordel !

  • Essayez le !

  • ah bon, on peu essayer les slips ici ???

  • Non, mais là, je suis sûr qu’il vous ira

  • J’ai un caleçon sous mon pantalon de jogging…

  • Justement, je suis sûr que vous le prendrez en M alors enlevez le de son plastique et essayez le normalement sur la peau !

Putain ! Il insiste ! Et là me vient une idée très perverse…

Puisqu'en le prennant de front ça ne marche pas, je vais biaiser…

  • OK, où est la cabine ?

  • Juste là

  • Heu… non monsieur, je vais pas me dessaper totalement ici avec juste ce petit rideau qui cache rien !

  • Oui c’est juste, vous allez aller là-bas, cabine des costumes.

Il prend mon modèle et ses petites jambes énergiques trottent au fond du magasin.

Dans le miroir je le vois souffler sur sa mèche, les yeux au ciel, faisant signe à son collègue de son agacement…

Ok mn gars… Tu vas voir…

J’entre et il me donne le maillot puis tire le rideau pour me laisser tranquille.

Là je me déchausse, je vire mon sweet et mon pantalon de jogging - où en fait, je n’ai rien en dessous…

Cul nu en chaussette, j’enfile de ce petit M rouge… Comme prévu il est impec au cul mais cela me fait une drôle de bosse. Soit je mélange tout - couilles + bite - et ça fait un gros paquet difforme comme une paupiette en avant, soit je mets ma queue sur le coté et ça ressemble à un bonnet de soutien gorge qui ne cache que la moitié.

Un Wonder-Braquemard ! Y a du monde au balcon !

Afin d’en remettre une couche, je malaxe un peu là où j’aime bien et là…

C’est carrément obscène ! Ca sort de partout, c’est tout dodu et rebondissant dans un mouchoir de nylon rouge !

  • Bah voilà !

  • Alors ? Ca va ?

  • Non je vous le disais… Dommage pour vous !

Je vois un peu derrière le rideau qu’il trépigne, qu'il voudrait voir que je lui mens mais il n’ose pas tirer le rideau. À peine ai-je commencé à dire « regardez » qu’il tire rapidement le rideau comme pour surprendre un outrage.

Il mate direct le paquet cadeau et je vois sa tête se décomposer puis changer d’expression.

Il semble d’abord vexé de s’être trompé, d’avoir perdu le bras de f o r c e , puis très vite ses yeux se plissent, ses pommettes remontent et il a peine à masquer son émotion…

  • Oui évidement, mais vous n’avez pas serré le cordon…

Il dit ça comme un dernier espoir, il supplie… Une dernière chance d’avoir raison et surement aussi de voir la viande bouger…

Alors je fais le mec las, je tire sur la ficelle du maillot pour la nouer très serrée. Un peu beaucoup excité par sa réaction, ma bite a encore gonflé et le résultat est un massacre à la pudeur… Ca dégueule de partout, mon paquet est comme un rôti de porc ficelé ! La pression du tissu me fait gauler encore plus.

Maintenant, c’est l’évidence je bande !

Je fais mine de paniquer essayant de cacher comme je peux les débordements, comme un matelot qui écope l’eau de son navire avec une tasse à café.

  • fait chier, ca donne ça…

  • Oui je vois bien…

Tu m’étonnes qu’il voit bien, il ne lâche plus l’affaire.

Son front - naguère parfaitement lisse et mat - est plissé et mouillé.

Son corps avance et recule entre raison et désir.

Je tente de donner du large en desserrant la ficelle mais le noeud est trop bien serré. J’ai coupé mes ongles trop courts pour être tranquille 3 semaines de vacances… Impossible à dénouer.

A f o r c e de tater, remettre en place ma bite, elle est dure et le slip ne cache maintenant plus que mes couilles ! Il se rapproche encore pour m’aider mais son professionnalisme l’emporte et il bégueille un « Je reviens » en tirant le rideau de la cabine derrière lui.

Je suis m o r t de rire en me voyant dans le miroir, la bite en avant, coincé dans ce mini slip rouge, impossible de débander, impossible de dénouer le cordon… Je me demande : J’arrête mes conneries ou je continue ?

  • J’ai un L mais en noir…

  • Ok cool mais là faut que j’attente un peu… la ficelle est coincée…

Je n’ai pas le temps de finir ma phrase qu’il s’est faufilé dans la cabine sans tirer le rideau.

Je suis surpris car sans dire un mot il se met à genoux à mes pieds, pouces et index attaquent le nœud du cordon et la bouche gobe direct ma bite !

Comme un expert à l’aveugle, ses doigts s’agitent sur la ficelle quand sa gorge profonde tente de m’avaler à fond. Il donne des petits coups de tête pour f o r c e r le passage de la glotte.

Moi je mets une main sur sa tête pour l’aider et une autre sur ma bouche pour m’empêcher de gueuler de plaisir.

Il parvient à dénouer le maillot qui glisse sur mes chevilles. Il se recule, je sens ma bite parcourir sa gorge, sa langue, ses lèvres et je vois ma queue sortir de sa bouche suivie d’un épais filet de bave.

Oh la salope ! Il encaisse bien ! Mais il se relève illico !

Voilà j’ai réussi ! essayez celui là ! en me tendant le maillot noir.

Il tourne les talons comme un top-model au bout du podium avec un air de peste, il a disparu !

Fait chier ! Boy is boy, bite qui bande n’a pas de conscience, je fais quoi de ma teube en rute !

Allumeuse, salope, j’ai envie de cracher sur ta gueule et pourrir ton costard à 1000 boules.

Ah l’enculé il a gagné au final, je me sens minable avec ma trique dans une cabine de grand magasin.

Je vire de mes pieds le maillot rouge tout taché de mouille et de salive.

Je n’essaie même pas le noir qu’il m’a laissé, là rien ne rentrerait dans un slip.

Je réfléchis : Je me finis à la main ou je médite sur les ampoules du plafond pour me calmer ?

  • Alors ? ça va mieux ?

  • … Que dire

  • Oui non ?

  • Euh… pff…

  • Un autre problème ?

  • Ah ah petit malin…

Dis-je à vois basse. Malin... sale pute oui ! Lui, sur le même ton, de l’autre coté du rideau il chuchotte :

  • Peux pas, je pense que mon collègue va me repérer…

  • Ok je vois …

  • Attends, vas-y branle toi, quand t’es prêt je viens…

  • Quoi ? mais je suis prêt moi, suis à fond là !

  • Nan quand tu craches… j’veux voir ton jus…

Ah la petite pute, elle peut pas sucer mais elle veut une dose.

Ouai je suis tellement chaud que ça m’excite encore plus. Je colle le slip rouge dans ma bouche et je mords. Tout mon corps est dure, tous les muscles contractés je me pignole comme un malade en état d’urgence d’éjaculation. Je me mate dans le miroir, on dirait une statue de pierre, je me branle à une vitesse folle. Je l’imagine derrière le rideau se caressant les lèvres, prêt à recevoir sa livrée de foutre.

Oh putain ça vient !

Je cogne deux coups de phalange sur la paroi, immédiatement il se glisse dans la cabine.

Il se met à genoux et enfonce le plus loin possible ma queue dans sa gorge.

Je lâche tout dans ma bite, comme si toute la pression de mon corps s’y échappait.

Il a avalé toute ma queue et je ne vois pas le foutre en jaillir mais en voyant ses yeux se plisser et sa mâchoire s’ouvrir encore plus, je devine que je lui envoie une bonne dose…

Il gargouille quand je me retire en donnant un coup de bassin. Quelques gouttes atterrissent sur le miroir.

Avec ses doigts il les ramasse et il les lèche. Il retire le slip de ma bouche et essuie la sienne.

Il me le rend et me dit :

  • Celui-là tu peux le garder, mets le au moins t'auras un slip sous ton jogging !

L’air satisfait il sort.

Je me rhabille sans slip car c'est une vraie serpillière. Ma bite encore gonflée dans mon jogging risque de nous trahir, je la tiendrai à travers la poche. Quand je sors il n’y a personne, peut-être est-il allé se rincer la bouche.

Bon, je me casse ! Je dévale dans les escalators et sors de ce magasin avec un souvenir dans l’autre poche. Je me demande : où vais-je aller pour trouver un foutu maillot de bain à ma taille maintenant ?

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